Frederik To Gaste - La vérité sur les meurtres rituels juifs

To Gaste Frederik - La vérité sur les meurtres rituels juifs.jpg


Frederik To Gaste
La vérité sur les meurtres rituels juifs


To_Gaste_Frederik_-_La_verite_sur_les_meurtres_rituels_juifs.zip
Acheter la version papier du livre


C’est pour répondre au désir d’une grande partie de la population que le présent opuscule entreprend, en toute concision, de tirer de l’obscurité les crimes les plus abominables ayant jamais été commis sur des êtres humains, crimes connus sous l’appellation de « meurtres rituels ».
Ce n’est pas une mince affaire, compte tenu de l’énorme documentation à compiler et à scruter, que de reconstituer le parcours sanglant des crimes juifs à travers les siècles jusqu’à nous afin de faire éclater la vérité au grand jour.
Comme un vampire fermement accroché à la carotide des peuples hôtes, tout à son œuvre d’exsanguination, le juif a toujours été le fléau de l’humanité. Au cours de son existence parasitaire, une aspiration fondamentale a dicté sa conduite : flétrir la vitalité des peuples jusqu’à les paralyser, tandis qu’il convoitait l’hégémonie d’un monde réduit par lui en esclavage, non sans avoir procédé à une soigneuse pesée d’intérêts et de conséquences. Qu’il n’y soit pas encore parvenu revient en grande partie à son essence même ; car, de nature, de naissance, le juif est prédisposé au crime qui le consume en tant qu’hôte impromptu, figure en marge de l’humanité dans son avidité de parasite. Destructif dans l’épanouissement de ses forces, le juif promeut compulsivement sa quête de nuisance dominatrice, devant constamment faire face à la contre-offensive des peuples menacés de ses coupables assiduités. En revanche, là où un juif est parvenu à brider un peuple, il en est toujours résulté une fatale décomposition.
Contrairement aux autres peuples enracinés dans leurs terres dont ils ressentent l’emprise et où ils ont laissé s’épanouir leur nature et leur race, le juif est resté un être vagabond, agité et versatile : un étranger parmi les étrangers. Inapte à l’assimilation, il vit avec une haine fanatique à l’égard du non-juif de tout ce qui ne relève pas des mœurs et usages transmis, autant de commandements de sa religion. Jéhovah, le Dieu de la vengeance, exige de ses enfants un sacrifice pour la réconciliation entre eux et lui : le prix du sang ; ainsi, tout comme son Dieu, cruel et sans scrupules, voilà le juif !
L’on comprend pourquoi le sacrifice du sang joue un rôle si important dans le rite juif : il a force de purification ; il libère le juif officiant de ses péchés et le fait apparaître agréable aux yeux de son Dieu sanguinaire chaque fois qu’il s’agit du sang d’un de ses ennemis. Or, est ennemi de Jéhovah tout non-juif ; par conséquent, le sacrifice du sang de celui-ci est, pour le juif, la suprême ordonnance.
Il serait oiseux de s’aventurer dans une querelle attisée par les juifs portant sur les meurtres rituels ; car, bien que les juifs démentent cette pratique comme telle, il subsiste cependant le rite incontesté du sacrifice du sang qui, à lui seul déjà, rend plausible le fait du meurtre rituel. Pour le juif, ces sacrifices ne peuvent passer pour des meurtres, d’autant qu’il s’agit des Goyim abhorrés de son Dieu Jahwe (Jéhovah), pour qui ils ne sont que des animaux.
Avec quelle cruauté le rituel juif accomplit la lente exsanguination de ses humaines victimes, voilà qui est présenté en quelques chapitres résumés dans cet opuscule par des exemples particuliers de meurtres rituels imputables aux juifs et irréfutablement prouvés, dont le nombre avoisine le millier.
Il n’a pas toujours été possible de faire toute la lumière en ces mystérieuses ténèbres qui entourent les meurtres rituels. Du reste, un chapitre y sera consacré, où l’on appréciera les moyens et le raffinement déployés par la juiverie internationale pour nier les lourdes accusations de sacrifices rituels, sans pouvoir toutefois nier le fait en tant que tel.
Sa profonde motivation, le sacrifice présenté au Dieu juif la trouve dans la haine déjà mentionnée que conçoit le juif à l’égard du non-juif : éliminer le Goy doit résonner chez le juif comme une perpétuelle exhortation.
Nulle part la juiverie n’a trouvé meilleure occasion de s’illustrer que dans les combats politiques, et, où elle a réussi à pousser les peuples à bout, c’est dans un impavide et impitoyable recours au meurtre comme moyen de combat politique.
Il est révélateur de constater, et les combats politiques, en particulier ceux de ces dernières années, le prouvent sans conteste, que le juif est partout compromis là où la vie humaine ne joue aucun rôle sur les champs de bataille politiques.
L’exemple le plus repoussant nous est ici donné par l’Union soviétique, où l’élimination des hommes est menée de manière systématique, comme seul un cerveau juif peut le concevoir dans ses fanatiques conséquences ; et c’est bouleversé que le monde apprit l’existence des vastes champs de cadavres, de ces tragiques exécutions sommaires d’une balle dans la nuque, dont les victimes de la terreur juive se chiffrent par millions : inconcevable, inimaginable, le destin de ce peuple, harcelé, torturé, et ce n’est pourtant qu’une phase expérimentale de ce que les juifs méditent envers tous les peuples qui tombent dans leurs griffes et endurent leur hégémonie : l’élimination totale ! Voilà l’avenir : l’anéantissement de tous les non-juifs, acte régulièrement symbolisé par le meurtre rituel.
Ce qu’à travers les siècles la juiverie a fomenté, dans son travail de taupe, elle l’achèvera maintenant dans cette guerre qui sera la sienne ; elle considère comme un devoir historique de réduire les peuples en esclavage sous son hégémonie mondiale : le règne de Juda ! L’alliance que le juif a créée entre le judaïsme, la ploutocratie et le bolchevisme, il la considère comme le couronnement de ses efforts pluriséculaires ; en ce funeste syncrétisme, sous les insignes « or et sang », le judaïsme célèbre son triomphe suprême, le triomphe de voir présider Jahwe à la fête de Pourim, la plus sanglante de tous les temps !